La myofasciite à macrophages (MFM, en anglais MMF) est une maladie rare identifiée en 1993 par Michelle Coquet, neuropathologiste à Bordeaux1, caractérisée par de microscopiques lésions présentes dans des biopsies de muscle qui montrent une infiltration des macrophages dans le tissu musculaire.

Les causes spécifiques de la MFM sont inconnues, mais la maladie est le plus souvent associée à la persistance pathologique de sels d'aluminium (hydroxyde d'aluminium, phosphate d'aluminium, sulfate d'aluminium2) utilisés dans certains vaccins.

Les symptômes cliniques comprennent des douleurs musculaires et articulaires, une importante faiblesse musculaire, une fatigue chronique, une fièvre modérée, des perturbations digestives chroniques, des neurotransmissions défectueuses (yeux, toucher, oreilles, etc.) et des troubles neuro-cognitifs. La maladie est dégénérative. (source WIKIPEDIA)

Les publications scientifiques récentes ont pu mettre en avant la question de la toxicité de l’aluminium vaccinal

Le syndrome découvert en 1993 et que l’on désigne sous le nom de myofasciite à macrophages (MFM) est spécifiquement imputé aux adjuvants aluminiques des vaccins. L’aluminium persiste sur le site de l’injection, entre plusieurs mois et 8 ans après la vaccination.

La MFM est caractérisée par des signes et des symptômes systémiques, ainsi que des lésions actives localisées sur le site de l’injection . Les manifestations systémiques incluent douleurs musculaires et articulaires invalidantes, fatigue chronique, fièvre, troubles du sommeil et troubles cognitifs avec une atteinte sévère des fonctions exécutives, notamment en terme de concentration, d’attention et de mémoire.

Dans plus d’un tiers des cas, la MFM est associée à une affection démyélinisante (sclérose en plaques). Près de 80 % des malades sont contraints d’interrompre leur activité professionnelle (source Association EMMM)

Dans un arrêt récent du 22 juillet 2015, le Conseil d'Etat se montre favorable à la victime en ce qui concerne le régime de la preuve:

"Considérant que, dans le dernier état des connaissances scientifiques, l'existence d'un lien de causalité entre une vaccination contenant un adjuvant aluminique et la combinaison de symptômes constitués notamment par une fatigue chronique, des douleurs articulaires et musculaires et des troubles cognitifs n'est pas exclue et revêt une probabilité suffisante pour que ce lien puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi ; que tel est le cas, lorsque la personne vaccinée, présentant des lésions musculaires de myofasciite à macrophages à l'emplacement des injections, est atteinte de tels symptômes, soit que ces symptômes sont apparus postérieurement à la vaccination, dans un délai normal pour ce type d'affection, soit, si certains de ces symptômes préexistaient, qu'ils se sont aggravés à un rythme et avec une ampleur qui n'étaient pas prévisibles au vu de l'état de santé antérieur à la vaccination, et qu'il ne ressort pas des expertises versées au dossier que les symptômes pourraient résulter d'une autre cause que la vaccination"

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?oldAction=rechJuriAdmin&idTexte=CETATEXT000030926052&fastReqId=583786766&fastPos=1

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